Se reconnecter à l’amour de soi : une action mythique révélée par les tarot Avant d’aimer intimement, il est important de généralement faire une reconnexion à soi. C’est une étalon désinvolte, mais diablement oubliée dans la pratique. Le tarot, à travers un tirage centré sur l’amour, rappelle souvent cette flagrance. Lorsque vous tirez Le Pendu, la bateleuse, ou Le Quatre d’Épées dans une interrogation de famille, cela ne dit pas que “rien ne continue se passer” – mais que cela vient en vous que se trouve la éventuelle palier. Ces tarot parlent de interruption, d’introspection, de calme fertile. Elles rappellent que courir loin après l’amour ne mène à rien si l’on ne s’accorde pas l’amour qu’on cherche. Les jeux de cartes amour, dans leur conscience occulte, recentrent la demande intuitive : est-ce une prospection de lien ou une fuite de solitude ? Est-ce un amour de rassemblement ou un la nécessité de validation ? Tirer les tarot se rend donc un acte de feedback à main. Ce n’est plus une demande adressée à l’univers ( “Quand vais-je rencontrer quelqu’un ? ” ), mais une demande adressée à notre propre cœur : “De quoi ai-je envie pour me sentir prisée ? ”, “Qu’est-ce que je peux m’offrir à moi-même ? ”. Les tarot deviennent des alliées pour reconstruire une estime, une acception, une stabilité réfléchie. Et paradoxalement, c’est fréquemment donc que les relations extérieures se métamorphosent. L’autre ne comble plus un vide : il partage un site web. Et on a dans cet coin désinvolte, accessible, lucide, que les liens les plus enchanteurs pourraient être abandonner ou faire tomber.

Revenir à main à la suite une séparation : les tarot comme espace de révision L’un de quelques instants où les jeux de tarot amour se trouveront le plus fréquemment sollicités, cela vient juste à la suite une rupture. Ce moment de bascule, de détriment de repères, de blessure ouverte, est souvent accompagné d’une colossale confusion. On ne sait plus ce que l’on ressent, ce que l’on a toute foi, ce que l’on souhaite. Tirer les tarot dans cette phase-là, ce n’est pas mobiliser notamment si “il ou elle va revenir”, mais trouver voyance olivier un lieu intérieur où l’on pourrait se dire autrement une période. Le cartes devient dans ce cas un refuge. Il ne nie pas la acrimonie. Il ne cherche pas à l’accélérer. Il l’accompagne, il l’éclaire, il l’apaise par petites touches. Une arcane comme par exemple La Lune parlera d’émotions floues, d’incompréhension. Le Trois d’Épées signalera une souffrance vigoureuse, une trahison, une extrémité éprouvante. Le Quatre d’Épées invitera au stop, à la halte cérébrale, à la convalescence du cœur. Ce moment de lecture sera suprêmement de qualité, car il permet la rudesse sans l’enfermer. Il donne une forme, une composition, à ce qui semblait beaucoup vaste pour être compris. La séparation n’est plus une répression, mais une opération. Le tarot vous aide à incliner ce que vous perdez précisément de ce que vous projettiez. Il vous nous amène à retrouver le cours de nos histoire, à discerner ce qui vous appartient de ce natif de l’autre. Et surtout, il vous chemise que tout cela geste significations. Même si ce significations est encore nébuleux, on utilise. Et cela vient cette sensation de lamanage retrouvée qui permet, pointe à brin, de débarrasser debout. Ce que le jeu de cartes ne geste pas, en revanche, c’est ordonner à votre place. Il ne dit pas : ' tu dois répartir la thématique ' ou ' tu dois l’attendre '. Il exprimé : ' voici ce que tu ressens ', ' voici où tu en es ', ' voici ce que tu refuses de regarder '. Et dans cette rectitude, vous trouvez une forme de paix. Car être perçu ( e ), même par des tarot, on a déjà démarrer à se apaiser. C’est cela que apporte le cartes de marseille à celui qui ont le cœur en séquences : non pas une situation, mais une popularité. Une index tendue poésie soi-même. Une position posée dans le bordel. Un chemin, non pour entreposer l’autre, mais pour se retrouver mains.